Chose promise, chose due, dans un chapiteau rempli comme un oeuf, avec la participation de plusieurs personnalités de la République, cadres et représentants des partis et regroupements politiques, l’Union sacrée de la nation a tenu son tout premier congrès, ce dimanche 01 octobre, au chapiteau du Palais du Peuple, à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
Au terme de ce congrès, cette plateforme politique a désigné officiellement Félix Tshisekedi comme son candidat à l’élection présidentielle prévue pour le 20 décembre prochain. Cette décision fait suite à un rapport favorable présenté par André Mbata, le rapporteur de ce congrès extraordinaire de l’Union sacrée, et au consensus obtenu auprès des congressistes.
Selon André Mbata, cette désignation s’appuie sur le souhait de voir Félix Tshisekedi achever ce qu’il a commencé, à la tête de la RDC.
Faisant partie du présidium de l’Union sacrée, Christophe Mboso pour sa part est revenu sur certaines réalisations du Chef de l’État, avant de donner rendez-vous aux congolais, à la campagne électorale.
« Il y a lieu de noter : la gratuité de l’enseignement primaire, le programme de développement local de 145 territoires, l’organisation réussie et sans faille des 9ème jeux de la francophonie, le recrutement des nouvelles unités suivi de leur mécanisations, la représentation des femmes aux instances de prise de décision, la couverture santé universelle avec la gratuité de la maternité, la montée en puissance des FARDC, pour ne citer que ceux-là. Ce bilan élogieux sera présenté au peuple pendant la campagne électorale », a déclaré Christophe Mboso N’kodia.
L’Union sacrée de la nation, en plus de soutenir la candidature de Félix Tshisekedi, vise à créer une coalition politique cohérente capable de répondre aux futurs enjeux électoraux et d’assurer une coordination efficace pour le bien de la nation, disent ses initiateurs. Cette plateforme politique compte des personnalités de premier plan au sein de son présidium, dont notamment : Jean-Pierre Bemba, Vital Kamerhe, Bahati Lukwebo, Christophe Mboso, Sama Lukonde, et Augustin Kabuya.
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