La ministre des affaires sociales, actions humanitaires et solidarité nationale, Nathalie-Aziza Munana, a pris part, ce samedi 8 mars, à Kinshasa, à la prière d’action de grâce et d’adoration organisée par l’association des épouses des militaires, implorant ainsi la faveur divine à l’endroit des vaillants soldats congolais au front qui défendent la patrie et aussi pour adresser des pensées pieuses envers toutes les femmes vivants dans la partie Est de la République Démocratique du Congo, en cette journée commémorative des droits des femmes.
À l’issue de cette activité, l’ambassadrice universelle de la paix est revenue sur l’objet de cette journée tout en mettant l’accent sur l’apport de la femme dans la société, à l’instar de celui de la Première ministre, Judith Suminwa, une première fois en RDC d’avoir une femme à la tête du gouvernement central.
« Aujourd’hui nous sommes le 8 mars 2025, j’ai choisi, c’est un choix que j’ai fait, de partager la journée d’aujourd’hui avec le corps militaire, les femmes militaires, les épouses militaires, les enfants militaire, les jeunes filles et les veuves militaires. C’est une journée qui doit nous interpeller parce que c’est une journée de la femme, mais j’ai mis aussi l’accent parce que c’est la première fois dans l’histoire nous avons une femme, première Première ministre. Donc, je devais honorer cette femme que le Président de la République a aussi honoré, c’est le choix de l’excellence Judith Suminwa Tuluka », a déclaré a coeur ouvert Aziza Munana.
Cette journée du 8 mars coïncide avec l’agression de la RDC par le Rwanda. Ainsi, la patronne des affaires sociales congolaises a profité de l’occasion pour appeler les uns et les autres à soutenir les corps militaires qui sont touchés de près ou de loin par cette agression.
Après avoir communié récemment avec les hommes des médias, l’ambassadrice universelle de la paix poursuit sa campagne de sensibilisation des congolais à s’aligner derrière le Chef de l’État, Félix Tshisekedi ainsi que les forces armées de la République Démocratique du Congo, pour faire bloc aux ennemis du pays qui ne jurent qu’à la balkanisation du Congo.
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