Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo est le théâtre de plusieurs réalités sociétales qui font parler le monde dont les réactions font couler l’encre et salive.
Si dans le passé, il suffisait que la femme soit belle naturellement. De nos jours, cette théorie n’est plus à la mode et appartient désormais comme une logique des anciennes générations. Même si le phénomène existe depuis plusieurs années maintenant, en République Démocratique du Congo la liposuccion et les injections ont pris une ampleur sans précédent avec les réseaux sociaux. Influenceuses, actrices ou femmes d’affaires, elles sont nombreuses ces congolaises qui assument leurs choix en faisant la chirurgie esthétique à la quête d’une bonne taille pour notamment séduire les hommes et être comptés parmi les femmes.
À l’instar des autres grandes villes du monde, à Kinshasa selon les enquêtes, certaines boutiques fixent jusqu’à 7.500$, en raison de 2.500$ par séance pour faire le BBL avec 3 modules. Un phénomène qui s’est vite développé grâce aux nouvelles technologies, via les contenus des réseaux sociaux mis sur la place publique par ce que certains qualifient de « influenceurs », dont l’usage est généralement abusif et le contrôle échappe à l’État.

Visiblement dangereux, sur le plan sanitaire, cette pratique a des conséquences néfastes pour la santé au point de risquer sa propre vie au nom de l’apparence, une situation que le gouvernement congolais devrait vite recadrer pour éviter le pire dans les jours avenirs, dans l’optique de préserver la santé de tous, car dit-on vaut mieux prévenir que guérir.
Rédaction
