Le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), Paul Nsapu Mukulu, et celui de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta, ont fait le point, mercredi 24 janvier, sur le processus électoral, qui a atteint son ultime étape des contentieux électoraux, pour les législatives nationales.
D’après une dépêche de la cellule de communication de cette institution d’appui à la démocratie. À l’issue des échanges, Paul Nsapu Mukulu a évoqué la question relative à la collaboration entre les deux institutions, qui s’occupent des questions de la justice et des droits de l’homme.
» Je les ai trouvés en plein travail. Un travail fastidieux, parce qu’il y a plus au moins 1.500 dossiers des contentieux électoraux. C’est pour les encourager, les exhorter à ce que le travail soit bien fait, puisque la CNDH considère le droit de vote, le droit électoral comme un droit qui mérite d’être monitoré, d’être observé, d’être encadré. C’est pour cela que, depuis le début de ce processus la CNDH a déployé des moniteurs des droits de l’homme focus élections » a-t-il dit.
S’agissant du timing imparti pour le travail, le président de la Cour constitutionnelle a rassuré qu’il sera respecté, car le travail se fait d’arrache-pied.
Bienvenu LEMA