Les directeurs- Chefs de services centraux du ministère de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique (EPST), la société civile, les comités des parents et les syndicats, les coordonnateurs nationaux ainsi que les partenaires techniques et financiers sont concernés à ces ateliers.
Augustin Kalume, chef de division à la direction de formation des enseignants, a montré la pertinence de rationnaliser les effectifs et les structures dans des écoles et les bureaux gestionnaires avant d’expliquer l’impact qu’a cette rationalisation sur la gratuité de l’enseignement.
« Comme le gouvernement a supprimé la contribution des parents au niveau primaire, laquelle contribution allait jusqu’à 73%, il est désormais dans l’obligation de rationaliser ses ressources pour une prise en charge efficace des écoles, des enseignants du primaire, des frais de fonctionnement des écoles et des bureaux gestionnaires », déclare Augustin Kalume.
De son côté, Godfrey Talabulu, spécialiste des Ressources Humaines au PERSE a évoqué le rôle que joue ces partenaires du système éducatif dans la matérialisation de cette réforme qui vise l’efficacité et l’efficience de ce système ainsi que l’appui à la gratuité de l’enseignement primaire:
« vous comme mouvementa syndicaux, parents d’élèves et société civile, vous avez un grand rôle à jouer pour la réussi de cette réforme. C’est vous qui allez récoltez les données, vulgariser et sensibiliser sur le bien-fondé de cette réforme », a-t-il déclaré.
Rappelons que ces ateliers ne dureront que cinq jours. Et que cette rationalisation permettra de maîtriser les effectifs dans ces structures sur toute l’étendue du pays, et d’en arracher où il y a abondance pour ajouter où il en manque, a précisé Godfrey T.